tag:blogger.com,1999:blog-6061388609179953746.post3383803965229219859..comments2024-03-19T17:07:22.134+01:00Comments on Pour les hommes, c'est impossible: En écoutant son Seigneur, l’Eglise devient ce qu’elle reçoit, le corps du Christ (Jeudi saint)PRhttp://www.blogger.com/profile/13385952085584250584noreply@blogger.comBlogger2125tag:blogger.com,1999:blog-6061388609179953746.post-87458818168084362612019-04-21T14:55:50.700+02:002019-04-21T14:55:50.700+02:00Rémi,
Content d'avoir de vos nouvelles par ce ...Rémi,<br />Content d'avoir de vos nouvelles par ce commentaire !<br />Mon propos est en phase avec un certain nombre de textes de la tradition. Mais, je dois le reconnaître, il les généralise.<br />Je ne me battrai pas sur ce point, parce que la question réside, comme vous dites, dans une incarnation de la prière, une manière de la vivre aussi avec le corps.<br />Cependant, les chrétiens prient debout. C'est la position de référence, pourrait-on dire, parce qu'ils ont été relevés par le Christ. Le concile de Nicée (325) commande que le dimanche et pendant le temps de Pâques, on prie debout. Il cherche surtout à ce que l'on ait des pratiques unanimes, que l'on ne se singularise pas.<br />La dévotion privée est chose respectable. La prière de l'Eglise autre chose.<br />Le pontifical des évêques garde aujourd'hui une trace de cela. Aux mêmes périodes, la litanie des saints doit être priée debout. La Présentation du Missel romain ne va pas dans ce sens sans toutefois imposer la station à genoux. Rien que cette réserve est importante. Qui plus est, cette PGMR n'a pas un poids disciplinaire comparable à un canon de concile œcuménique !<br />Parfois, apprendre à prier comme l'Eglise et avec elle, c'est une manière de recadrer un peu nos pratiques et habitudes, et souvent, de convertir notre prière.<br />Voilà, il n'y a pas d’oukases en ces matières, mais sans doute un peu de jeu, au sens mécanique du terme, pour aider chacun à prier selon et avec Jésus. La prière aussi a besoin de conversion pour passer du paganisme, toujours présent, archaïque, à l'évangile.PRhttps://www.blogger.com/profile/13385952085584250584noreply@blogger.comtag:blogger.com,1999:blog-6061388609179953746.post-50394521813233924912019-04-17T11:09:59.097+02:002019-04-17T11:09:59.097+02:00Bonjour Patrick,
Tout d’abord, merci pour votre b...Bonjour Patrick,<br /><br />Tout d’abord, merci pour votre blog dont je me nourris chaque semaine.<br />Cet article m’a plu et je partage votre réflexion sur l’eucharistie, un seul point m’a quelque peu étonné, c’est votre catégorique « jamais à genoux ».<br /><br />Personnellement, se mettre à genoux revêt une signification importante en tant que chrétien. J’insiste pour dire que l’on ne m’a jamais dit de mettre à genoux. S’agenouiller est un acte qui m’aide en tant que corps incarné à poser mon orgueil et me rappeler que nous naissons de la poussière et retournerons poussière, je m’incline seulement devant la grandeur de Dieu car moi et mon ego ne nous sommes rien, et tout à la fois… C’est cet aller-retour entre grandeur et petitesse de notre nature humaine qui me pernet de progresser dans la foi. Cette liturgie du corps au moment de la consécration de l’hostie par l’assemblée m’aide à accueillir le don de Dieu. <br /><br />Je serai content de connaitre qu’elle est la raison pour laquelle il ne faut jamais se mettre à genoux.<br /><br />Fraternellement,<br /><br />Rémi GINESTET<br />Rémi GINESTEThttps://www.blogger.com/profile/17862601490787632925noreply@blogger.com