« C’est seulement par les sans-espoirs que l’espoir nous est donné. »
« Nur um der Hoffnungslosen willen ist uns die Hoffnung gegeben. »
« Nur um der Hoffnungslosen willen ist uns die Hoffnung gegeben. »
La phrase est attribuée par H. Marcuse à W. Benjamin, sans référence, à la toute fin de L'homme unidimensionnel. Je n'en trouve pas la référence exacte. Certains la disent de E. Bloch dans le Principe espérance ou à Adorno, lesquels ont pu l'emprunter à Benjamin.
Ce qui m'importe, c'est la portée christique du propos, évangélique même.
PS Je reçois d'un lecteur les références
C’est de Walter Benjamin.
Goethes Wahlverwandtschaften, Gesammelte Schriften I.1, Frankfurt-am-Main, 1991, S. 201.
(Les affinités électives de Goethe)
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