Vient de sortir le numéro 147 de la Revue de Théologie et de Philosophie.
Aux pages 227-244, « Lire Thérèse de Jésus avec Michel de Certeau ».
Résumé :
Lire Thérèse de Jésus avec Michel de Certeau c’est aborder l’œuvre thérésienne comme une fable, c’est-à-dire une fiction, une stratégie pour dire l’indicible. L’écriture mystique, mais aussi les maladies de Thérèse, les phénomènes extraordinaires ou les voyages, tout cela est d’abord un acte de langage, et ce n’est pas un hasard si Thérèse est une des inventrices du castillan. La thèse certalienne sur la mystique se vérifie. L’autre qui cherche à se dire demeure indisponible et le croyant, le disciple, avec son désir jamais comblé et sans cesse relancé, découvre l’amour qui le fait vivre.
Une version moins complète, en espagnol, se trouve dans La Torre del Virrey
Aux pages 227-244, « Lire Thérèse de Jésus avec Michel de Certeau ».
Résumé :
Lire Thérèse de Jésus avec Michel de Certeau c’est aborder l’œuvre thérésienne comme une fable, c’est-à-dire une fiction, une stratégie pour dire l’indicible. L’écriture mystique, mais aussi les maladies de Thérèse, les phénomènes extraordinaires ou les voyages, tout cela est d’abord un acte de langage, et ce n’est pas un hasard si Thérèse est une des inventrices du castillan. La thèse certalienne sur la mystique se vérifie. L’autre qui cherche à se dire demeure indisponible et le croyant, le disciple, avec son désir jamais comblé et sans cesse relancé, découvre l’amour qui le fait vivre.
Une version moins complète, en espagnol, se trouve dans La Torre del Virrey
Aucun commentaire:
Enregistrer un commentaire